Résumé de ‘’L’assommoir’’ (1877) roman d’Émile ZOLA


Résumé  de ‘’L’assommoir’’

(1877)

roman d’Émile ZOLA


Chapitre I

En 1850, sont, depuis deux semaines, arrivés de Plassans, en Provence, à Paris, Auguste Lantier, sa compagne, Gervaise, et deux de leurs fils, Claude et Étienne. Ils s'installent dans le faubourg de la Goutte-d’Or. Descendus d’abord à l’hôtel Montmartre, ils se réfugient à l’hôtel Boncoeur, un garni misérable. Comme Lantier, qui est paresseux, infidèle et ne supporte pas de vivre dans la misère, a, au bout de deux mois et demi, au lieu de s’établir comme il l’avait promis, «mangé» le petit héritage maternel de dix sept cents francs, il abandonne la jeune femme, en emportant tout ce qui reste de leurs maigres économies, pour aller se fixer à la Glacière avec une «brunisseuse» (une ouvrière des métaux), la petite Adèle, vivre à ses crochets, et la battre quand elle ne marche pas droit. Gervaise et ses deux enfants se retrouvent à la rue et sans argent. Au lavoir, elle se heurte à la soeur d’Adèle, Virginie, qui la nargue ; elles en viennent aux mains ; malgré son boitement, Gervaise prend le dessus, et, devant tout le monde, Virginie reçoit une fessée à coups de battoir, et se sent humiliée.


Chapitre II

Gervaise trouve, chez Mme Fauconnier, rue Neuve de la Goutte-d’Or, un emploi de blanchisseuse, métier qu'elle a appris à Plassans. Elle y fait des journées de douze heures. Si elle est boiteuse, elle est jolie. Aussi Coupeau, un ouvrier zingueur, se sent-il attiré par elle. Il l'invite à boire un verre au cabaret du père Colombe, ''L’assommoir''. La vie paraît commencer pour tous deux ce jour-là. Se confiant à lui, elle dit rêver d’une vie simple où elle aurait toujours un toit sur la tête, de quoi manger, ne serait plus battue ; elle indique que l’alcoolisme est un problème récurrent dans sa famille. Coupeau lui avoue que, dans la sienne, il connait le même problème. Or Gervaise contemple avec curiosité l'alambic du père Colombe, qui lui paraît un monstre menaçant. Elle ressent des peurs irraisonnées, de noirs pressentiments ; elle souffre de l’hostilité évidente de Mme Lorilleux, la soeur du zingueur (elle et son mari sont des artisans qui fabriquent des chaînettes d'or) devant laquelle il est si petit garçon, qui réprouve cette union, et se complaît dans les ragots. Cependant, sept semaines après le départ de Lantier, elle accepte d’épouser Coupeau. Ils se mettent en ménage, et s’installent rue Neuve de la Goutte-d’Or.


Chapitre III

Le 29 juillet, Gervaise et Coupeau se marient. La noce réunit quinze personnes, la famille de Coupeau et plusieurs de ses collègues et amis. Le mariage est religieux puisque, pour Coupeau, «un mariage sans messe, on avait beau dire, ce n’était pas un mariage». Comme un orage estival éclate, pour se protéger de la pluie, et pour tromper l'ennui, les mariés et les invités se réfugient dans le musée du Louvre. Le repas de noce, au ''Moulin d'argent'', est gargantuesque, et on boit beaucoup. Cela se termine mal, en discussions politiques et en querelles sur le prix du repas, les convives étant furieux d’avoir dû payer des suppléments. De plus, Mme Lorilleux, qui s'est montrée odieuse et désagréable durant toute la journée, insulte Gervaise, quitte la table, se moquant de son boitement en lui donnant ce surnom, «la Banban». Gervaise fait la rencontre de Bazouge, le croque-mort qui habite la maison ; il la glace en lui lançant ce rappel de la mort : «Ça ne vous empêchera pas d’y passer, ma petite…» ; mais elle le repousse violemment. Ce mariage gâché lui laisse le goût amer de l’échec.


Chapitre IV

Quatre ans plus tard, le travail et les sacrifices de Gervaise et Coupeau semblent avoir porté leurs fruits : ils sont de simples ouvriers, mais vivent désormais dans une certaine aisance. Ayant pu économiser six cents francs pour qu'elle puisse s'établir à son compte, ils ont une boutique en vue, dans le grand immeuble où habitent les Lorilleux. Ils louent un appartement dans le même quartier. Gervaise se lie d’amitié avec leur voisin de palier, le forgeron Goujet, dit Gueule-d'Or, garçon fort et chaste qui vit avec sa mère. Gervaise accouche d'une fille qui est prénommée Anna mais que tout le monde surnomme Nana, et dont les Lorilleux sont les parrains. Claude, qui a huit ans, est envoyé à Plassans chez un vieux monsieur, amateur de tableaux, et qui, séduit par les ânes et les bonnes femmes qu'il dessinait, a demandé à sa mère de le lui confier, et l’a mis au collège. Les autres enfants
poussent. Le rêve de vie simple de Gervaise semble s’être réalisé. Mais, un jour où elle passe, avec Nana, voir Coupeau sur un chantier, la petite fille appelle son père qui, en voulant la regarder, tombe du toit où il travaillait, et a les deux jambes cassées. Pour lui éviter l'hôpital, de triste réputation, c'est Gervaise qui le soigne. Mais il reste étendu, puis en convalescence, pendant quatre mois. De ce fait, les économies du ménage sont «mangées». Doit-elle renoncer à ses projets? Non : Goujet, qui l'aime «comme une sainte Vierge», offre de lui prêter les cinq cents francs nécessaires pour la location et l'installation de la boutique de blanchisserie.


Chapitre V

Les Coupeau prennent possession de la boutique, où Gervaise travaille avec deux ouvrières, Mme Putois et Clémence, et une apprentie, «ce petit louchon d'Augustine», tandis que Coupeau, qui a désormais peur de monter sur les toits, et prend son métier en aversion, sombre dans l’oisiveté, et se met à fréquenter “L’assommoir”. Cependant, ils emménagent dans le grand immeuble rue de la Goutte d’Or, et Gervaise apprécie son quartier malgré les rumeurs qui y courent sur elle et sur sa famille. Grâce à son activité et à son esprit avisé, sa boutique est bien achalandée, et elle prend même des clients à madame Fauconnier, son ancienne patronne. Si Coupeau travaille de nouveau, il est moins sérieux qu’avant, car il lui arrive de boire et de manger au lieu d’aller travailler ; l’alcool commence à être un problème pour lui, et, saoul, il s’en prend parfois aux employées de sa femme, cherche à embrasser la «grande vaurienne» qu'est Clémence. Le forgeron Goujet se rapproche de Gervaise. Elle recueille la mère de Coupeau dont les Lorilleux ont décidé de se débarrasser.


Chapitre VI

Gervaise est prise d’un désir subit d’aller voir son amoureux, Goujet, dans sa forge. Prétextant d’y rejoindre son fils, Étienne, qui travaille avec lui comme apprenti cloutier, elle arrive à le rencontrer. Elle croise cependant Bec-Salé, un ouvrier ivrogne qui lance un défi à Goujet : qui des deux réussira les plus beaux boulons de quarante millimètres dans le temps le plus court? L’amoureux de Gervaise triomphe dans cette compétition. Puis il lui montre les machines, lui dit craindre pour l’avenir de son métier. La boutique est un lieu chaleureux où les gens viennent se réchauffer en hiver. Le jour, Gervaise héberge un vieil ouvrier miséreux, le père Bru, qui loge sous l’escalier de la maison de la Goutte-d'Or, comme un chien. Tous deux voient un autre locataire, le terrible serrurier Bijard, alors qu'il est en proie à une crise éthylique, rouer de coups sa femme, sous les yeux de ses enfants terrorisés. Coupeau continue de s’adonner à l'alcool. Réapparaît Virginie, devenue Madame Poisson, car elle est désormais l'épouse d'un sergent de ville, et les deux femmes de réconcilient.


Chapitre VII

Gervaise, voulant rattraper l'échec de ses noces, et célébrer son succès, s’endette pour organiser une grande fête. Dans la boutique, elle donne un formidable «gueuleton», servant une oie à quatorze convives, car, pour éviter qu'ils soient treize, elle a invité aussi le père Bru. Nana joue à la maîtresse de maison, mais garde les meilleurs morceaux pour elle. Les invités boivent beaucoup. C’est dans cette ambiance festive que Lantier réapparaît parmi les voisins que la fête a attirés sur le trottoir. Il a été ramené dans le quartier par Virginie qui a, en fait, gardé contre la blanchisseuse une sourde rancune. Lui et Coupeau en viennent aux mains dans la rue, avant de finir par sympathiser, Coupeau, passablement gris, l'invitant à la fête.


Chapitre VIII

Lantier fait des visites, gagne la confiance de Gervaise et de ses employées. Toujours sur l'invitation de Coupeau, il s'installe chez eux, prend pension mais ne paie rien, vivant donc aux dépens de Gervaise qui, un peu honteuse, laisse faire et doit entretenir ces deux hommes oisifs. Un ménage à trois se forme donc, et le quartier clabaude qu'elle s'est «remise avec» Lantier. Mais elle jure à Goujet, toujours amoureux d'elle, et qui lui déclare sa flamme, en vain, que ce n'est pas vrai. Révolté de voir que Coupeau impose à sa femme la présence de l'ancien amant qui l'a abandonnée, il envoie Étienne travailler à Lille, où il devient machineur, et propose à Gervaise de l'enlever. Mais c'est trop pour elle ; elle se contente d'être éblouie par cette offre, la refuse parce qu’elle est mariée et a des
enfants. Elle dépense sans cesse pour assurer la subsistance du ménage, et Lantier lui emprunte de l'argent pour faire des repas fins dans tous les restaurants du Nord de Paris avec Coupeau, Mes-Bottes, Bibi-la-Grillade et Bec-Salé dit Boit-sans-Soif, qu'il abandonne d'ailleurs toujours au moment où ils commencent à être saouls pour rentrer à la blanchisserie, et emmener Gervaise au café concert ! Un soir, Coupeau rentre complètement ivre, et vomit partout dans la chambre à coucher ; aussi Gervaise, après l'avoir couché, va-t-elle rejoindre Lantier dans son lit, sous les yeux de Nana qui, réveillée, suit la scène de derrière la porte de la chambre qu'elIe partage avec «maman Coupeau». Gervaise passe alors dans le lit de Lantier chaque fois que Coupeau rentre ivre ou qu’il ronfle trop fort, Et, à cause des racontars de la cancanière «maman Coupeau», le quartier est au courant.


Chapitre IX

C’est le début de la ruine pour Gervaise. Elle, qui était si fière de sa boutique et de son habileté de blanchisseuse, néglige son travail, vit au milieu du linge sale, et perd une à une ses clientes, qui vont chez madame Fauconnier. Elle doit renvoyer sa dernière ouvrière, et ne garder que l’apprentie Augustine. Le terme n'est pas payé, et elle, qui avait d’abord rendu vingt francs par mois aux Goujet, a de plus en plus de mal à le faire. Elle en vient même à emprunter pour pouvoir payer son loyer, à demander à «maman Coupeau» de mettre en gage les biens du ménage au mont-de-piété. Elle achète désormais tout à crédit, faisant donc d'autres dettes dont elle s'accommode cependant avec un tranquille cynisme. Elle semble être détachée de tout, ne trouvant d'intérêt que dans la nourriture, se laissant aller à la gourmandise. Elle devient de plus en plus paresseuse et crasseuse. Coupeau, qui buvait d'abord pour faire comme les autres, pour ne pas être en reste, et seulement du vin, finit par avoir besoin d'eau-de-vie au réveil. Lui et ses compagnons battent le pavé et les sentiers de la banlieue ; comme eux, il renonce bientôt à tout emploi fixe, ne fait plus que s'engager de temps à autre sur un chantier qu'il quitte le plus souvent avant la fin des travaux sur une querelle avec le «singe», ou parce qu'un matin il a trop mal aux cheveux ou que Mes-Bottes le débauche pour quelque expédition ; il consomme au cabaret tout ce qu’il gagne, sombre dans l’ivrognerie et la brutalité, parfois ne rentre pas à la maison. Gervaise, qui doit de plus en plus souvent lui donner de l'argent, vient, un jour, l'attendre à la sortie de son travail car, comme de nombreuses femmes qui sont sur place, elle veut récupérer son salaire avant qu’il ne le boive. Mais c’est trop tard. Elle se fait dire qu'elle le trouvera à ''L'assommoir'' ; elle Ie rejoint à l'intérieur, le découvre qui boit sa paie avec d’autres ivrognes ; finalement, elle en vient à boire elle-même un petit verre d'anisette puis un verre du «vitriol» que secrète l’alambic. Elle prend alors l'habitude d'aller le chercher au café, et commence ainsi à glisser elle-même sur la pente de l’alcoolisme. Lantier, qui se laisse entretenir, se montre de plus en plus exigeant en matière de nourriture. Les deux hommes battent Gervaise lorsqu’ils boivent trop. Elle devient grasse, et s’use la santé. Lantier, voulant essayer de maintenir son train de vie, tente de la forcer à louer sa boutique à Virginie, car il a séduit le ménage Poisson. Mais Gervaise résiste jusqu'au moment où «maman Coupeau» meurt, Nana étant toute heureuse de coucher dans son lit : elle aime les grands lits ! Coupeau et Lantier forcent alors Gervaise à vendre sa boutique aux Poisson. Goujet jure de ne plus la revoir.


Chapitre X

Les Coupeau déménagent dans le même immeuble, au sixième étage, «sous les toits, dans le coin des pouilleux, dans le trou le plus sale», et ont pour voisin le croquemort Bazouge. Comme le logement est petit, ils doivent laisser les meubles à Virginie. Cependant, Coupeau passe par une bonne période pendant laquelle il travaille trois mois régulièrement, à Étampes, se libère quelque peu de l'alcool, et ramène même de l’argent au foyer. Mais le dur hiver de 1864 installe la misère dans tous les quartiers populaires. Lantier, voyant le tour que prennent les choses, arrange la cession de la boutique à Virginie, qui va enfin pouvoir écraser Gervaise en ouvrant une épicerie ; et il «vient avec» la boutique; cependant, comme il a «nettoyé» la blanchisserie de Gervaise, avec la complicité de Coupeau, il se prépare à en faire autant de l'épicerie de Virginie. Gervaise trouve du travail chez madame Fauconnier comme repasseuse d'occasion ; mais elle gâte tellement l’ouvrage qu’on la classe au rang de simple laveuse. Elle s'apitoie sur la petite Lalie qui, depuis que «son père avait tué sa bourgeoise d’un coup de pied dans le ventre, s’était faite la petite mère» de la famille. Coupeau, qui s'est remis à boire, et qui, au cours d'une escapade, a attrapé une fluxion de poitrine, a été transféré de l'hôpital à «l'asile Sainte-Anne» car il a eu une crise de folie ; il a alors peur, passe six mois sans boire, et guérit. Lantier et Gervaise continuent de se voir malgré les rumeurs. Nana fait sa première communion. Comme elle souhaite être fleuriste, les Lorilleux la rejettent, ce métier ayant mauvaise réputation.


Chapitre XI

Nana, qui a quinze ans, dont la beauté sensuelle s'est épanouie, qui court les hommes, est devenue fleuriste, et travaille avec sa tante, Madame Lerat. Mais elle fait des fugues parce que ses parents ivres la battent régulièrement. Gervaise ne rembourse plus Madame Goujet. Les Coupeau sont de plus en plus violents. Nana, manquant d’argent pour élever son fils, Louiset, qu’elle a eu à l’âge de seize ans, quitte la maison, et se prostitue. Gervaise se fait renvoyer de son travail. Elle boit et grossit de plus en plus. Devenue femme de ménage, à genoux dans l'eau sale, elle lave une fois par semaine le parquet de l'épicerie, qui a été sa blanchisserie, sous le regard de Virginie, qui lui fait subir les pires avanies, et de Lantier, qui grignote les confiseries et la boutique elle-même. Coupeau retrouve Nana, et, avec Gervaise, la violente. Comme il boit de nouveau, il fait plusieurs crises de folie, et d'autres séjours à l’hôpital psychiatrique. Nana quitte définitivement les Coupeau, et est aperçue dans une belle voiture. Gervaise reste alors «grise» pendant trois jours !


Chapitre XII

On ne veut plus de Gervaise nulle part. Coupeau et elle ont vendu leur lit. Ils doivent deux mois de loyer, et souffrent de la faim. Même plongée dans cette épaisse misère, Gervaise porte secours au père Bru, qui n'en meurt pas moins ; et elle s'interpose courageusement entre la malheureuse petite Lalie et son père, qui la brutalise au point qu'elle meurt sous ses coups de fouet alors qu'il est fou d’alcool. Gervaise et Coupeau sont entraînés progressivement vers la chute, sans la moindre compassion des voisins qui s'en amusent plutôt : «Quelle dèche, quel décatissage, mes amis !». Un soir qu'elle va chercher Coupeau à la sortie du travail, elle Ie trouve bambochant avec Mes-Bottes, et tous deux la persuadent que, si elle veut de l'argent, elle n'a qu'à en demander aux hommes. Alors, tenaillée par la faim, mais obèse, alourdie dans ses vêtements informes, dans sa robe boueuse, en savates, elle harcèle les passants d'un «Monsieur, écoutez donc», et s'adresse même au père Bru qui mendie. Enfin, c'est cette caricature de la femme qu'il aimait si respectueusement que Goujet rencontre sur le trottoir, et qu'il emmène chez lui pour la nourrir et Ia réchauffer.


Chapitre XIII

Étienne envoie dix francs à sa mère, ce qui lui permet de manger. Coupeau, qui a été progressivement rendu fou par le «vitriol» de ''L'assommoir'', est de nouveau à Sainte-Anne où il est enfermé dans une cellule capitonnée. Lorsque Gervaise vient lui rendre visite, on le lui montre gueulant, s'agitant frénétiquement, en proie à des hallucinations. Quand elle est rentrée chez elle, ses voisins, les Lorilleux, les Boche, les Poisson, lui demandent de leur décrire en détail sa crise, et elle s’exécute en imitant Coupeau. Trois jours plus tard, il meurt d’un dernier accès, dans d’atroces souffrances. Sombrant tout à fait dans la misère, Gervaise loge sous l’escalier comme le père Bru autrefois, et doit faire les poubelles. Enfin, à l'âge de quarante ans, elle meurt de faim et de froid, dans sa niche. Mais les voisins ne s’en rendent pas compte tout de suite : quelques jours plus tard, l’odeur les alerte ; «on la découvrit, déjà verte». Et c'est le père Bazouge, le croque-mort ivrogne, qui vient «avec la caisse des pauvres, pour l'emballer.» «En l'allongeant au fond de la bière avec un soin paternel, il bégaya, entre deux hoquets : ''Tu sais... écoute bien... c'est moi, Bibi-la-Gaieté, dit le consolateur des dames... Va, t’es heureuse. Fais dodo ma belle !''»
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